mardi, août 29

Happy Birthday Bambi !

29 août: Bambi a 48 ans...
Quelques petites choses "cocasses" sur le "King of Pop" (pour les fans éventuels)
- Je n'aime pas tirer sur les ambulances, mais je viens de trouver un site qui dévoile les truquages des clips et concerts de Michael, notamment dans "Smooth Criminal" (cf. ci-dessus), un clip qui m'a longtemps obsédé: ici.
- Michael Jackson chante en français. Très kitsch: ici
J'ai beaucoup d'autres choses plus ou moins farfelues en stock pour ceux qui veulent. Que les aficionados se dévoilent...

lundi, août 28

C'est qui ce bô gosse ?

Non, ce n'est pas l'un des acteurs de "Miami Vice", mais bien Thomas Hugues, le héros de la ménagère de plus de 50 ans, très "tendance" dans son tee-shirt moulant, sa veste en skaïï et ses nouveaux cheveux...
Le journaliste rejoint i>télé à la fin du mois d'août où il remplace Guillaume Durand entre 18h et 19h30, et se retrouve face à ... Harry Roselmack qui lui sera à la même heure sur LCI !
Thomas Hugues a néanmoins précisé qu'il remplaçait plus Guillaume Durand que Harry Roselmack, puisqu'il ne présentera pas les infos mais un talk-show d'une heure et demie.

samedi, août 26

Keith qui se passe ?

Bon, d'accord, jeu de mot pourri... (j'aurais pu mettre "Jarrett de faire la diva" aussi...)

A ceux à qui j'ai raconté nos deux concerts à Marciac cet été (Jarrett et Mehldau), je transmets l'article de Libé sur le "divo":


Jazz in Marciac. En entame de la 29e édition, le pianiste américain a refait le caractériel.
Keith Jarrett tient son rang de goujat
Par Serge LOUPIEN
QUOTIDIEN : Mercredi 2 août 2006


Tout le monde en convient, Jazz in Marciac est aujourd'hui l'un des festivals majeurs de la planète jazzy. Le plus masochiste aussi. Ainsi se souvient-on de certains shows tumultueux du regretté Ray Charles, grand spécialiste de l'embrouillamini scénique (rapport à la célérité des adeptes du zoom) et des pugilats backstage (pour de sombres affaires de picaillons). Ou encore de l'apparition «vincetayloresque» de Nina Simone, ex-militante soul intronisée mousquetaire d'Armagnac, qui allait pourtant offrir à cinq mille voyeurs égrillards un de ces concerts dramatiques comme l'on n'en voit peu dans une vie de festivalier.
On l'aura compris, Jean-Louis Guilhaumon, fondateur et président de la manifestation, cultive un certain art du risque. Dont on pouvait penser qu'il avait atteint son pic avec la programmation, en 2001, du caractériel Keith Jarrett (qui a déclaré un jour que Wynton Marsalis avait «une influence très négative sur le jazz» ); lequel refusait obstinément jusque-là de se produire «sous un chapiteau», lieu réservé aux charlatans et aux saltimbanques.
Pas d'odeurs, etc. Or, le suffisant chevalier des Arts et des Lettres ( «une distinction méritée qui souligne la valeur de mon travail» avait-il déclaré à l'époque) n'a rien à voir, on le sait, avec les intermittents. Mais dans sa grande bienveillance, il avait fini par céder aux pressions conjuguées des organisateurs et de son ex-employeur, Charles Lloyd, après que le festival eût cassé sa tirelire et accepté ses exigences iniques (pas de photos, pas de fumée, pas de bruit, pas de va-et-vient, pas de retardataires, pas de buvettes, pas d'odeurs de cuisine, pas d'autre orchestre, etc.), transformant un lieu réputé pour sa convivialité en Gaveau maïsicole, où l'on n'entendait pas un épi voler.
Le public gersois ayant fait preuve, en la circonstance, d'une patience exceptionnelle, on s'imaginait que l'affaire en resterait là. Pas du tout. Cinq ans plus tard, voilà que Marciac remet ça. Invitant le sinistre Pennsylvanien à se livrer une fois encore à son numéro de pingouin. Pour commencer, il a exigé la mise à sa disposition de deux Mercedes classe S, vierges de toute odeur de tabac (la première pour lui, la seconde pour ses sidemen ) et conduites par des chauffeurs «professionnels». Keith Jarrett en effet n'apprécie guère les bénévoles. Il a d'ailleurs interdit leur présence à son concert, après les avoir privés de repas chaud (toujours à cause des effluves culinaires).
Retardé par la charlotte au chocolat. Barricadé dans des coulisses transformées en QHS, il a ensuite crisé, parce que le dessert proposé ne convenait pas à son palais raffiné. Il a donc fallu aller lui chercher une charlotte au chocolat dans un restaurant du village. D'où son retard (treize minutes) au moment de monter sur scène. Rien de bien grave dans l'absolu, sauf que le Sarkozy du clavier avait préalablement exigé que tous les spectateurs aient rejoint leur siège à 20h45, le concert devant débuter à 21 heures précises (sous chapiteau fermé). Mais pourquoi édicter des règles si l'on n'a pas le droit de les transgresser ?
De même était-il conseillé de ne pas abandonner sa place pendant l'entracte. Des bénévoles, munis de sacoches remplies de bouteille d'eau minérale, passant dans les allées (les buvettes étaient closes), afin d'abreuver les spectateurs menacés de suffocation.
Mécanique. On peut se demander d'ailleurs pourquoi ceux-ci n'ont pas protesté (sauf au début, un peu, quand les derniers rangs ont compris que les écrans resteraient inutilisés). Car Jarrett a beau prétendre que seule sa musique compte, celle-ci est à son image : mécanique, dénuée de générosité. Miles Davis aussi tournait le dos au public. Mais c'était pour le provoquer. Keith Jarrett, lui, l'ignore. Et s'il ne le méprise pas (quoique...), il ne lui témoigne aucun respect. Se contentant de distribuer sourires et satisfecit à ses deux faire-valoir: Gary Peacock la balance (en 2001, il avait dénoncé un photographe amateur à son boss), dont on a peine à croire qu'il a pu côtoyer Albert Ayler, et Jack DeJohnette, qui faisait moins le poseur quand Miles lui balançait une serviette à la figure au milieu d'un chorus jugé inacceptable.
Marciac 2006 aura donc démarré rigide, entre parenthèses, sur un gros déficit émotionnel. Heureusement, il existe d'autres fins pianistes peu enclins à se conduire en gougnafiers. Brad Mehldau et Chano Dominguez par exemple, qui partagent à la fois l'affiche de ce soir et un même sens de la prodigalité.

jeudi, août 24

Appel à contribution

Je marchais dans la rue tout à l'heure, écoutant l'album "Fantaisie militaire" de Bashung. Arrive "Ode à la vie", un morceau beaucoup plus beau quand ... on est en train de marcher. Je suis sûr qu'il y a des titres au coeur de vos iPod qui prennent une autre dimension quand vous êtes dans la rue. Des morceaux qui vous donnent la niaque ou l'envie de mettre de bons coups d'épaule dans les passants... François, tu me parlais de The Streets (qui porte bien son nom) l'autre soir... Et vous autres ?
Je me ferais bien une compil de ce genre, dont je mettrais la playlist sur ce blog...
Allez, j'attends vos suggestions dans la rubrique "comments" ci-dessous...

Si le vent se lève, c'est sûrement le sirocco


Hier sortait "Le Vent se lève" de Ken Loach. Tous les newsmags rappellent cette semaine que l'idée originale du cinéaste était de dresser un parrallèle entre le lutte anglo-irlandaise et la situation contemporaine en Irak. Pertinent ?
J'en reviens à penser, dans un registre plus léger, à ce montage youtouesque découvert il y a quelques mois, associant également Irlande (plus récente) et politique américaine. Plus un clin d'oeil qu'une vraie diatribe cohérente:

mercredi, août 23

Le syndrome "Ray"

Après "Ray" et autre "Walk the line", nouvelle fournée de biographies filmées... J'espère au moins qu'il n'y aura pas de scène inaugurale pédo-psychanalisante...

He is the precious...
Elijah Wood est pressenti pour incarner Iggy Pop dans la bio sur grand écran de l'Iguane. Iggy, qui a pu lire le script du film, en dit beaucoup de bien. Cela dit, il trouve le choix des casteurs un tantinet étrange. Et c'est pas que je n' aime pas Elijah, mais moi aussi, je trouve ça bizarre... et vous aussi, en fait. Si si. Tout le monde.
Moi, j'aurais plutôt choisi le Gollum pour incarner Iggy. Non ?


Encore mieux... Trois en un...
Hayden Christensen (plus connu en tant qu'Anakin Skywalker) sera Bob Dylan au cinéma. Et Jim Morrison. Et Mick Jagger. Dans "Factory girl", un film sur la vie d'Edie Sedgwick (interpretée par Sienna Miller, à droite sur la photo), Hayden devait jouer Bob Dylan, mais les avocats de celui ci ont fait savoir que "Mr Zimmerman n'avait jamais eu de relation avec Edie, et que la production du film serait bien avisée de modifier le script", d'où la création de Danny Quinn, personnage fictif n'ayant officiellement rien a voir avec Dylan, en fait un Robert Zimmerman agrémenté de morceaux de Morrison et Jagger.

Like David said : "Let's dance !"

Texto de Maud pour me convier à une "soirée danse" vendredi chez Aurélia...
Mais "danse", ça veut dire quoi ? Valse ? Tango ? Krump ? Bon, dans le doute, je vais réviser un peu tout:

C'est un endroit qui ressemble à la Louisiane...

Non...rien...juste pour dire que Google Earth c'est quand même bat.

Rappsodie



Hommage hier soir sur France 2 à Bernard Rapp, décédé le 18 août. Revoir "Une Affaire de goût" , son meilleur film, à mon sens. Alors qu' "Un Petit jeu sans conséquence" ,...pfff...

Ci-joint, la nécro de Télérama:

Gentleman Rapp
Disparition du journaliste et réalisateur Bernard Rapp, connu pour son dandysme et sa douce ironie.


Au lendemain de sa mort, les plus de 40 ans avouaient une grande tristesse. Ils évoquaient son élègance, son humour so british, son ironie douce, jamais amère. Ils se souvenaient de sa mèche blonde crantée, de ses lunettes demi-lunes, de ce regard légèrement distant – mais jamais sarcastique – qu’il portait sur les êtres et les choses. Les amateurs d’anecdotes se rappelaient aussi ce journal de 20 heures qu’il fut le premier à présenter, un jour, sans cravate, à la stupeur d’une France pas encore totalement « dégiscardisée ».

Gentleman Rapp (61 ans) est mort discrétement la semaine dernière d’un mauvais cancer du poumon. Le soir même, la nouvelle a fait l’ouverture du journal de France 2. Pas sûr qu’il aurait aimé cela. Le narcissisme télévisuel n’était pas sa tasse de thé. Est-ce à Londres où il était correspondant d’Antenne 2 qu’il attrapa ses faux airs de vrai Britannique, lui qui ne revendiquait qu’un arrière-grand-père anglais du côté maternel ? C’est en tous cas là-bas que Pierre Lescure est venu le chercher, en 1983, pour succèder à PPDA au journal d’Antenne 2. En quatre ans d’antenne, il gagna à être connu. Il hérita même d’un sept d’or de meilleur présentateur du journal télévisé. Plus tard, il en gagnera deux autres qui lui serviront de serre-livres. Il lui en aurait fallu beaucoup plus car, des livres, c’est par milliers qu’il en a lu. Après deux ans à accomoder l’actualité à toutes ses sauces avec un art consommé dans son Assiette anglaise, Bernard Rapp accepta de chausser les lunettes de Pivot pour présenter Caractères sur les mannes d’Apostrophes. Une succession douce. Les deux Bernard partageaient la même qualité d’écoute des autres, cette bienveillance naturelle qui leur faisait tendre la main vers un auteur demi-muet uniquement parce qu’il avait mis tous ses mots dans sa plume. Dans les années qui suivront, Bernard Rapp servira autant la cause de la littérature que celle de la télévision en produisant Un siècle d’écrivains, deux cent cinquante-sept portraits qui constituent encore la plus grande collection documentaire produite à la télévision. Son éclectisme et sa culture le conduiront à présenter bien d’autres émissions : Jamais sans mon livre, My télé is rich, Rapptout, Héros vinaigrette, Planète chaude et quelques autres. Autant d’instants de télévision pas toujours aboutis, mais où on avait en horreur le verbe haut et la pensée courte. Sans doute parce que celui qui les présentait n’oubliait pas que le téléspectateur avait un cerveau au dessus des yeux.

Sur le tard, Bernard Rapp se tourna vers le grand écran. « L’Histoire d’un film, c’est le récit d’un miracle, la rencontre admirable d’une équipe et d’une idée », écrira-t-il dans la préface du Dictionnaire mondial des films qu’il avait codirigé (avec Jean-Claude Lamy, chez Larousse). C’est par goût de l’ aventure collective qu’il s’était lancé dans le cinéma, avec énergie, sincérité, et aussi un brin de naïveté. Ses quatre films avaient trouvé leur public – surtout Une affaire de goût, un beau succès au printemps 2000 –, un peu moins la critique, ce qui l’avait blessé. Rapp avait mis la barre assez haut pour un « vieux débutant », ses films jouant volontiers de l’ambigüité, du non-dit (les rapports étranges de Jean-Pierre Lorit et Bernard Giraudeau dans Une affaire de goût), subtilités qui demandent une vraie maîtrise de la mise en scène. Moins ambitieux et plus abouti, Un petit jeu sans conséquence, en 2004, marivaudage cruel adapté d’une pièce des théâtres, montrait son amour des acteurs... Rapp s’est éteint. La télévision, la littérature et le cinéma lui disent merci. Nous aussi.
Aurélien Ferenczi et Olivier Milot

lundi, août 21

Oh ! Un "Barnabé" géant !

Un petit cadeau pour Bertrand

Qui a rencontré Bertrand ces derniers jours sait qu'il a de la chance. L'individu en question ne sort en effet que très rarement de sa tanière de Gif-sur-Yvette. Le pauvre (mais néammoins brave) garçon s'est pris d'une passion pour le dernier jeu vidéo tiré de Star Wars. Pour égayer ses soirées de folie, tout en restant dans l'ambiance Jedi, je lui propose d'écouter le tube qui fait fureur cet été sur la piste de dance du "Macumba" le plus proche de chez lui.
Un coup de fil de L'escogriffe aux Gnarls Barkley (puisque c'est d'eux qu'il s'agit) pour leur expliquer la situation aura suffi. Heureusement qu'ils aiment se déguiser. Alors, merci qui ?


PS: je tiens à remercier tout particulièrement le batteur du groupe, victime d'un coup de chaud juste après le tournage...

Petits garnements...

Thomas, Bertrand, après cette soirée d'hier, et toute cette musique illégalement écoutée, je ne peux me résoudre à rester les bras croisés. Voici donc un spot de sensibilisation destiné aux jeunes gens, afin de leur faire comprendre la portée de leurs gestes sur la Toile. J'espère seulement qu'il pourra vous aider. En espérant agir dans l'intérêt de tous,
Cordialement,
L'escogriffe

dimanche, août 20

Quand journalisme rime avec entertainment...

Mieux vaut en rire, avant que ça nous arrive. Si, si, dans quelques années, vous verrez, on en viendra à regretter Béatrice Schönberg et J-P Pernault (j'ose à peine le dire, un ancien de l'ESJ...):

La madeleine de Proust de la semaine

Si vous n 'avez jamais eu de Game Boy enfant, passez votre chemin...

Les devoirs de vacances du petit Buisson

Une info plutôt rigolote. G.W.Bush a lu "L'Etranger" pendant ses vacances, et a beaucoup aimé.
Pierre Assouline y consacre un article sur son blog:
Bush enrôle Camus
Donc, le président Bush a lu un livre. C'est la Maison-Blanche qui l'a révélé : le roman le plus célèbre d'Albert Camus fut sa lecture de l'été, dans son ranch de Crawford (Texas sud) entre deux ouvrages historiques sur Abraham Lincoln et la guerre civile. Comment
L'Etranger a-t-il atterri entre les mains de George W. ? Nos sources l'ignorent encore, mais il se murmure en haut lieu qu'il a beaucoup apprécié. N'avait-il pas déjà embedded l'écrivain dans un discours à Bruxelles l'an dernier : "...Nous savons qu'il y a beaucoup d'obstacles et nous savons que le route est longue. Albert Camus disait: "La liberté est une course de fond"... "? Cela se voulait un extrait de La Chute, sauf que ça ne s'y trouve pas, du moins pas ainsi. Cette fois, son entourage n'en est pas moins perplexe.
Certains prétendent que sa passion contrariée pour l'absurde y a trouvé un encouragement, quelques uns se demandent quel mérite il a pu trouver à une apologie de l'athéisme par un Français, d'autres assurent qu'il a surtout aimé une histoire dans laquelle le héros tue un Arabe. Mais si tout le monde s'accorde à dire que le Maître du Monde a lu L'Etranger en anglais, les experts divergent sur un détail plus significatif qu'il n'y paraît quand on sait à quel point un titre peut orienter une lecture : a-t-il lu l'édition anglaise (The Outsider) ou l'édition américaine (The Stranger) ? Il y a là me semble-t-il davantage qu'une nuance, de la marginalité à l'exclusion, mais je n'ai pas mon cher Oxford Dictionary à la portée de la main. D'après Tony Snow, le porte-parole de la Maison-Blanche, Mr President a jugé cette lecture "intéressante et rapide". Il a ajouté que Mr President et lui avaient à cette occasion "discuté des origines de l'existentialisme, cela dit sans vouloir approfondir le sujet". En effet, cela vaudrait mieux, pour Antoine Neige comme pour George Buisson, car
ça se discute. Honni sartre qui mal y pense.

Les humoristes s'en donnent aussi à coeur joie, notamment dans le "Daily Show" (que je vous conseille par ailleurs):

samedi, août 19

Ok ? Go !

Clip minimaliste, mais très efficace, d'un jeune groupe, les "Ok Go" . Super pratique quand on ne sait pas faire le moonwalk... Un clip qui fait fureur en ce moment sur le Net et les chaînes musicales. Comme quoi, avec trois bouts de ficelle, et quelques idées...

Je vous parle d'un temps...


Il était une fois dans les années 60, un truc du nom de "guerre froide". Il était aussi une fois dans les années 60, un monsieur du nom d' Alan Moore. Voici quelques-unes de ses parodies, publiées dans les comics d'alors: ici

It's a man's man's world



GTA est un jeu de voitures ultraviolent. Mais grâce à une boisson gazeuse (basée à Atlanta, créatrice du père Noël, ayant fricoté avec les nazis pendant la guerre, et passionnée d'ours polaires), tout devient magique ! Même quand on ne connaît pas ou peu le jeu, c'est drôle... Y'a pas à dire: ils ont beau être chiants, ils sont forts ces Ricains.

J'en connais une qui va être contente !


Pour les fans de Brian de Palma, la bande-annonce de son prochain film: l'adaptation du "Dahlia Noir" de James Ellroy...: ici